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Compétence

De GBLL, TAL, ALAO, etc.

Cet article est une ébauche
Pour l'améliorer : Pour l'introduction, inscrire différentes définitions issues de différentes sources (dictionnaire Larousse par exemple) pour avoir une vue plus globale. Il serait peut être intéressant d'aborder la notion de compétence professionnelle.

La gestion des compétences a débuté dans certaines entreprises françaises dans les années 80, puis est devenue obligatoire à partir de 2005 dans le cadre de la loi de cohésion sociale. Elle a entraîné le développement de la gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences (GPEC), permettant de répondre à de nombreux enjeux, tels que la stratégie de développement de l'entreprise, ses ressources humaines ...

On voit ainsi que la gestion des compétences est un enjeu majeur pour les entreprises de nos jours, mais qu'est-ce qu'une compétence ?

D'après Wikipédia « Une compétence est une connaissance (savoir, savoir-faire, savoir-être) mobilisable, tirée généralement de l'expérience et nécessaire à l'exercice d'une activité (dans ce cas, professionnelle). Il faut avoir conscience que la notion de compétence émerge à des époques différentes, et dans des champs scientifiques différents, et pas seulement dans la sphère du travail et de l'entreprise. Selon la discipline scientifique — linguistique, ergonomie, psychologie, sciences de l'éducation, sociologie, puis seulement gestion (gestion des ressources humaines et stratégie d'entreprise) — la compétence n'est pas définie de la même façon, ne s'oppose pas aux mêmes notions, et ne comporte pas les mêmes enjeux ».

Cet extrait attire notre attention sur l'aspect multiple de la compétence. C'est un terme qui peut désigner différents types de capacités et qui de plus s'adapte à différents domaines et époques.

Comme nous allons le voir ci-dessous, la définition du mot compétence englobe des notions différentes selon les domaines étudiés.

Domaines des compétences

Compétence individuelle

D'après Dejoux, dans «Gestion des compétences et GPEC», la compétence individuelle est « la combinaison d’un ensemble de connaissances, de savoir-faire et d’aptitudes qui dans un contexte donné, permettent d’aboutir à un niveau de performance attendu et validé.» [1]

On considère qu'un individu possède une compétence soit par le droit soit par le savoir :

- Le sens premier du terme compétence est la « légitimité d'une personne ou d'une instance » à décider ou à juger d'un fait.

- Le second le définit comme une «capacité reconnue d'une personne en telle ou telle manière reliées aux connaissances acquises ».

Compétence collective

La compétence collective (CC) est l’ensemble des compétences individuelles des participants d’un groupe plus une composante indéfinissable, propre au groupe, issue de la synergie et de la dynamique de celui-ci (Dejoux, 1998)

Les personnes qui travaillent ensemble au sein de groupes lors des activités professionnelles, développent une CC qui se traduit par un savoir-faire propre à chaque groupe. Cette compétence collective se concrétise ensuite lors des actions menées individuellement.

Nous distinguons quatre attributs fondamentaux de la compétence collective ; le référentiel commun, le langage partagé, la mémoire collective, et enfin l’engagement subjectif .

  • Le référentiel commun : Pour assurer une coordination des différentes activités individuelles, il faut que les membres du groupe disposent d’un référentiel commun. Ce référentiel permet une cohérence des objectifs visés et une adéquation des actions.
  • Le langage partagé : Le langage commun fait référence au vocabulaire élaboré par un groupe de travail et qui permet de converser à mi-mots , de lire entre les lignes et de gagner du temps dans l’énonciation abrégée et en évitant les commentaires et les explications.
  • La mémoire collective : Cette mémoire peut être décomposée de la façon suivante ; une mémoire déclarative non centralisée qui se repose sur l’acquisition de savoir auprès d’un autre individu ou sur la création d’un nouveau savoir par l’interaction, une mémoire procédurale non centralisée qui découle d’une confrontation de savoir-faire de deux ou plusieurs individus au cours d’un travail accompli en commun et finalement une mémoire de jugement qui présente l’ensemble des connaissances issues de la confrontation des mémoires de jugements individuelles.
  • L’engagement subjectif : Fait référence aux comportements des membres d’un équipe face aux aléas lors de la résolution des problèmes (Prise de décision et initiatives, autonomie…) [2]

Cette notion de compétences collectives ne peut être qu'une source de progrès pour une organisation, cela rentre dans le cadre de l'intelligence collective qui a pour but de renforcer les échanges et le partage de la Connaissance collective pour atteindre une meilleure performance. En effet, si les connaissances et les compétences se transmettent, les échanges évoluent et les interactions s'enrichissent et par conséquent l'intelligence collective se développe.

Compétence organisationnelle

La compétence organisationnelle implique la mobilisation, combinaison et coordination des acteurs qui composent cette organisation. A l'intérieur, on retrouve des ressources financières (des outils par exemple ou bien des fonds financiers), des ressources techniques liées à des connaissances spécifiques, ou bien des ressources immatérielles : savoirs faire et compétences individuelles, réputation ... On définit ici l'entreprise par rapport à ces ressources tangibles, intangibles ou immatérielles [théorie des ressources].

La formalisation de cette coordination se fait grâce à un ensemble de processus propres à une organisation, sa routine. Celle-ci permettra à l'entreprise d'obtenir grâce aux échanges, à l'appropriation et à la permanence de compétences clefs, un avantage concurrentiel [théorie des capacités dynamiques].

A partir de cette mobilisation des ressources dans l'ensemble de l'entreprise, et de son organisation, découle la notion de compétences clés, qui définissent le coeur de métier de l'entreprise.

Compétence territoriale

Le terme de compétence territoriale est née dans le cadre de la préservation ou de la revitalisation des bassins d'emploi (Loi de modernisation sociale du 17 janvier de 2002 et Loi Borloo du 18 janvier 2005). Elle se fonde sur la mobilisation de différents types de ressources : physiques, matérielles et immatérielles, grâce à la coopération entre des organisations privées (types entreprises), publiques (associations), et l'Etat.

Ces différents acteurs travaillent ensemble vers un but commun, en apportant leurs propres ressources, né ainsi un nouveau type de compétence, issu de cette collaboration, propre à la situation du territoire.

La compétence dans différentes disciplines

Sciences de l'éducation

En Science de l'éducation, une compétence est classiquement envisagée comme :

  • « Un savoir agir complexe prenant appui sur la mobilisation et la combinaison efficaces d’une variété de ressources internes et externes à l’intérieur d’une famille de situations »[3]
  • « L’aptitude à mettre en œuvre un ensemble organisé de savoirs, de savoir-faire et d’attitudes permettant d’accomplir un certain nombre de tâches »[4]
  • Adapté de Henri et Cormier, la compétence peut également être envisagée comme le potentiel d'action d'une personne. L’action dont il est question concerne souvent l'accomplissement de tâches complexes (résolution de problèmes, prise de décision, réalisation de projets) qui requiert la mobilisation d'un ensemble intégré de connaissances, d'habiletés, d'attitudes et de comportements dans une classe (ou « famille ») de situations différentes. [5]

Les notions de la compétence dans l'éducation

Dans l'éducation, la notion de compétence peut être mise en relation avec celles de connaissance et de procédure.

Connaissance dans l'éducation

La notion de "connaissance" est souvent opposée à celle de "savoir". Un savoir peut être défini comme un ensemble de données, de concepts, c'est une science collective qui peut s'acquérir par l'enseignement ou la littérature par exemple. En revanche, une connaissance est individuelle. Elle résulte de la compréhension et de l'appropriation d'un savoir par un individu, on dit alors que l'individu a assimilé un savoir. Acquérir une connaissance peut nécessiter certains près requis et n'est pas obligatoirement immédiat. Combiner connaissances et procédures permet ainsi d'obtenir de la compétence.

Une connaissance peut être mesurée par la valeur qui lui est attribuée. Cette valeur, selon André Tricot [6], est déterminée par l'école et par la société. Il distingue alors deux types de connaissance :

  • la valeur absolue : "il vaut mieux posséder telle connaissance plutôt qu'une autre"
  • la valeur relative : "dans telle situation, il vaut mieux posséder telle connaissance", par exemple, dans le cadre d'une expérience chimique, connaître la formule chimique du chlorure de sodium a plus de valeur que de connaître la différence entre un adjectif épithète et attribut.

Dans le cadre scolaire, la valeur d'une connaissance est principalement définie selon la hiérarchie des disciplines, elle-même déterminée par notre société. En effet, dans notre société actuelle, les connaissances en mathématiques sont jugées comme ayant plus de valeur que les connaissances en arts plastiques par exemple, allant même jusqu'à rendre les connaissances ayant peu de valeur comme "plus faciles" à acquérir.

Ainsi, par un échange de valeur il est possible d'échanger des connaissances. Une connaissance scolaire pourrait alors devenir une connaissance non scolaire, c'est le cas de la lecture par exemple. De tels échanges permettraient alors d'enrichir et de développer de nouvelles compétences futures.

Procédure dans l'éducation

"Une procédure, appelée aussi savoir-faire, est une opération, un enchaînement organisé d’actions, qu’on peut apprendre à automatiser parce qu’elle reste toujours la même dans toutes les situations ... l’apprentissage requerra des exercices parfois longs, répétitifs, voire fastidieux, tout comme le musicien qui travaille ses gammes ou le sportif de haut niveau qui s’astreint à son entraînement. Néanmoins, une fois la procédure installée, celle-ci pourra s’exercer presque les « yeux fermés », elle ne demandera pas d’adaptation, elle se présentera toujours de la même manière." [7].

Une forme de compétence peut donc être la maitrise d'une procédure, c'est à dire être capable de reproduire toutes les étapes de la procédure en question par soi-même. Cette notion de procédure rappelle aussi la la notion de routine organisationnelle, introduite par Nelson et Winter dans leur ouvrage « An evolutionnary theory of economic change » [8]. La notion de routine a été introduite en faisant le parallèle avec la théorie des gênes dans la biologie. Elle est notamment définie comme étant "un ensemble des modes de comportement réguliers et prévisibles", une définition très proche et semblable que celle de procédure, introduite précédemment.

Compétence dans l'éducation

« La compétence est la mobilisation ou l'activation de plusieurs savoirs » et savoir-faire, « dans une situation et un contexte donnés. » définition donnée par Guy Le Boterf [9].

Une compétence regroupe diverses connaissances qui ont été évaluées (voir évaluation de la compétence) témoignant ainsi de la maîtrise de chaque notion inclue dans la compétence [10]. Le champ des compétences est très large et une compétence peut être propre à un domaine en particulier. Cependant, les types de savoirs et savoir-faire constituant une compétence peuvent être classés dans différentes catégories. Selon Guy Le Boterf : « savoirs théoriques, procéduraux, savoir-faire procéduraux, sociaux, cognitifs et expérientiels ».

L'évaluation dans l'éducation

Une évaluation permet de confirmer ou mesurer le niveau d'acquisition d'un savoir, d'un savoir-faire. Evaluer un ensemble de savoirs ou savoir-faire en lien avec une même notion, un même domaine revient à évaluer une compétence. La notion de compétence peut alors être un outil d'évaluation plus complet que simplement évaluer des connaissances de manière ponctuelle. Maîtriser une compétence particulière assure la maîtrise de savoirs et savoir-faire inclus dans cette compétence.

Les conditions d'évaluation

Pour savoir si une compétence est acquise il faut mettre en place une évaluation. Pendant cette évaluation l'élève devra accomplir des tâches en utilisant les ressources apprises au préalable. Les deux premières conditions de l'évaluation d'une compétence est de confronter l'apprenant à une situation nouvelle et complexe. En effet, l'apprenant ne doit pas répondre de manière automatique à l'exercice mais il doit fournir une réponse judicieuse et bien réfléchie, voilà pourquoi la tâche à accomplir doit être nouvelle. "Il ne s’agit pas d’appliquer de manière automatique un enchaînement d’actions prédéterminé." [7] La troisième condition est que l'évaluation doit être en relation avec l'apprentissage et que les notions à évaluer doivent être enseignées au préalable. Il n'est pas possible d'évaluer l'apprenant sur des notions qui lui sont inconnues et de les découvrir lors de l'évaluation. Enfin la dernière condition consiste à avoir une évaluation de type diagnostique. Cette dernière permet d'identifier les difficultés rencontrées par l'apprenant et créer des catégories de besoins.

L'évaluation par compétences

L'évaluation des compétences est un mode d'évaluation basé sur une liste de compétences que doit maitriser un individu dans un cadre donné [11]. Il s'agit de préparer un tableau des objectifs de compétences, de le présenter aux élèves en début d'année pour connaître toutes les notions qui seront exigibles en fin de l'année scolaire. Ce tableau des compétences est l'occasion également pour l'élève de connaître la progression envisagée tout au long de l'année courante et aussi sur chaque activité ciblée. A la fin de chaque trimestre chaque élève aura un bilan individuel croisé avec les résultats des différentes évaluations qui lui permettra d'apprécier le niveau de ses acquis et les progrès réalisés. Ainsi l'évaluation est moins vécue comme une sanction et permet de supprimer la visée sélective de mise en concurrence qui engendre le stress, la frustration et le découragement, voire échec scolaire.

L'objectif de cette méthode d'évaluation et de permettre à un élève de mieux se connaitre, d'identifier ses points forts et ses points faibles, ses acquis, afin qu'il puisse par la suite faire des choix d'orientation plus facilement, et qui corresponds le plus justement possible à son profil [12].

Didactique des Langues

En Didactique des Langues, on parle fréquemment des quatre compétences/habiletés que sont :

  • Compréhension Écrite ;
  • Production Écrite ;
  • Compréhension Orale ;
  • Production Orale.

Ces quatre compétences proviennent à l'origine d'un problème de traduction. Selon le modèle initiale en anglais on peut décomposer la compétence de communication en plusieurs composantes et elle est mesurée selon des critères préalablement établis dans quatre aptitudes (ou savoir-faire, ou capacités, ou habiletés)/skills [13]. Pour la traduction du terme en français, le Dictionnaire de didactique du français langue étrangère et seconde (Cuq (dir.), 2003 : 26) à l’article aptitude, énonce que : « On désigne par aptitude les différentes “manières d’utiliser” la langue dans la communication, à savoir son utilisation en compréhension, en expression, à l’oral (écouter, parler) et à l’écrit (lire, écrire).

Canale et Swain définissent la compétence de communication comme incluant 3 compétences principales: une compétence grammaticale, une compétence sociolinguistique, et une compétence stratégique. Pour ces auteurs, la compétence sociolinguistique inclut une compétence socioculturelle (comprise comme la connaissance des règles sociales dans un groupe donnée) et une compétence discursive (qui est comprise comme maîtrise de différentes formes de discours). La compétence stratégique est définie comme l'ensemble des stratégies de communication qui permettent de compenser les ratés de la communication: ces phénomènes de compensation peuvent s'exercer soit sur la compétence linguistique soit sur la compétence sociolinguistique. La compétence stratégique doit donc être enseignée dès le début de l'apprentissage d'une langue étrangère puisqu'elle permet de combler les lacunes des deux autres compétences.Équivalent approximatif de l’anglais linguistic skill à l’origine, aptitude est peu à peu remplacé dans les discours didactiques par savoir-faire, capacité, habileté, voire compétence. ». Dans le modèle en anglais, la "communicative competence" se décline en plusieurs composantes: par exemple grammaticale (grammatical competence), sociolinguistique (sociolinguistic competence) et stratégique (strategic competence). Dans le passage au français c'est le terme compétence qui a été retenu pour traduire le mot "skill" d'où l'appelation de quatre compétences expliquées précédemment.

Certains mentionnent une cinquième habileté : l'interaction (orale/écrite). Pour d'autres, les langues sinogrammiques nécessitent la mise évidence d'une autre habileté : la Compétence Graphique alors que d'autres la situent comme savoir/composante des compétences CE et PE.

Ergonomie

Selon Dejoux [14], en ergonomie, la notion de compétence a été introduite pour améliorer les conditions de travail. Ces compétences permettent aux ergonomes de résoudre des problèmes, mais il est important qu'elles représentent un objectif, mesurable et atteignable. Ainsi, il est possible de se situer sur l'échelle de niveaux d'une compétence et de se rendre compte des résultats que l'on peut atteindre avec un tel niveau. En résumé, en ergonomie, la compétence est vue comme une "stratégie de résolution de problèmes".

Sociologie

La compétence a notamment été introduite dans le domaine de la sociologie du travail, elle est défini comme étant un processus d'apprentissage continu. Cette notion de compétence a émergé dans les années 90 car avant cette période on s'intéressait à la qualification en tant qu'objet. Une compétence n'est jamais acquise à vie et la validation d'une compétence est toujours délimitée par le temps contrairement au diplôme qui est obtenu pour le reste de la vie. Dejoux [14] donne l'exemple des métiers de soudure qui ne peuvent s'exercer qu'après l'obtention d'une certification qui n'est valable que cinq ans. Il est notamment important de noter que la compétence ne peut exister sans une reconnaissance sociale, c'est suite à un regard normatif qu'on associe une compétence à un individu.

Conclusion : les points clés

Après avoir abordé toutes les notions dans les différents domaines, Dejoux [14] arrive aux 6 points clés suivants :

  • La compétence est un savoir agir
  • La compétence est finalisée
  • La compétence est une combinatoire
  • La compétence est contingente
  • La compétence est dynamique
  • La compétence nécessite une reconnaissance collective

Ces 6 points sont des invariants qui se retrouvent dans chacune des disciplines étudiées.

Notes et Références

  1. Cécile Dejoux (2013) Gestion des compétences et GPEC. 2e édition DUNOD:[1]
  2. Didier RETOUR et Cathy KROHMER (2011), LA COMPÉTENCE COLLECTIVE MAILLON CLÉ DE LA GESTION DES COMPÉTENCES:[2]
  3. Jacques Tardif (2006) L’Évaluation des compétences. Documenter le parcours de développement, Les Éditions de la Chenelière. (Chapitre 1, p. 22).
  4. Marc Romainville (2012) Intervention sur L’approche par compétence à l’université, USJ 2012
  5. Henri, J. & Cormier, J. (nd). DISCAS : Qu’est-ce qu’une compétence. [3]d'après les en-têtes de la requête http de la page, celle-ci date de 2010--~~~~
  6. André Tricot (2006) Les connaissances apprises à l'école et au-dehors : quels échanges ? : [4]
  7. 7,0 et 7,1 Sylvie Van Lint, La notion de compétence et son évaluation, 2016
  8. Nelson & Winter (1982) An Evolutionary Theory of Economic Change
  9. https://gjmaths.pagesperso-orange.fr/compet.html#:~:text=Connaissance%20%3A%20Action%2C%20fait%20de%20comprendre,le%20droit%20d'en%20juger
  10. https://books.google.fr/books?hl=fr&lr=&id=C4G4MVw4yrEC&oi=fnd&pg=PR7&dq=comp%C3%A9tence+dans+la+gestion+de+connaissance&ots=3DhyEbp1zx&sig=Iy4g5dMRhJh1UmugpPEb_cMEYDE#v=onepage&q&f=false
  11. https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89valuation_des_comp%C3%A9tences
  12. https://www.cairn.info/revue-idees-economiques-et-sociales-2009-1-page-71.htm#s1n4
  13. http://glottopol.univ-rouen.fr/telecharger/numero_6/gpl6_07rosen.pdf
  14. 14,0 14,1 et 14,2 Cécile Dejoux (2ème édition, 2013) Gestion des compétences et GPEC